Christel Jacobs : « passionnée par les défis et la pression positive »

Un coup de fil express
Christel : « Je travaille pour Climatrix depuis 3 ans. J’ai quitté mon emploi précédent car il ne m’offrait plus de défis. Les postes vacants étaient assez éloignés de la région de Dilsen, où j’habite. Je souhaitais travailler près de chez moi, alors j’ai décidé d’envoyer ma candidature à un certain nombre d’entreprises locales que j’appréciais, dont Climatrix. Trois quarts d’heure après mon email, j’ai reçu un coup de téléphone de Kim [PDG]. Le comptable venait de démissionner. J’ai commencé immédiatement. »
Nouveaux défis
Travailler chez Climatrix a été une bouffée d’air frais pour Christel, car elle y a découvert de nouveaux défis : « J’ai commencé par la comptabilité, mais j’ai aussi commencé à travailler dans le domaine des ressources humaines. Je m’occupe donc maintenant des finances et des ressources humaines, c’est-à-dire du recrutement, de l’accueil, de l’administratif et, bien sûr, de tout ce qui a trait à la comptabilité. Avec le Covid, mes missions de recherche ont bien sûr pris un tout autre tournant. »
Personne de contact
Christel n’est pas le genre de comptable terne qu’on peut imaginer : « J’aime communiquer avec les gens. C’est un peu contradictoire avec la tenue de comptes, je le sais, parce que je suis la seule employée ayant un bureau personnel. Bien que je sois en fait très sociale et aime être parmi les gens. C’est une des raisons pour lesquelles j’ai choisi Climatrix. J’ai de bons collègues et l’atmosphère de travail est bonne. »
Liberté d’agir
Toutes les personnes ayant rencontré Christel dans son bureau le remarqueront immédiatement : « J’ai pu installer mon bureau comme je le souhaitais. J’ai tout réorganisé à mon image. Cela montre à quel point j’ai de la liberté dans mon travail. Je peux organiser mon planning moi-même et j’ai été autorisée à organiser mon emploi selon mes critères. Après un an seulement, j’ai eu l’opportunité d’intégrer l’équipe de management. De cette façon, je peux encore plus participer à la vie de l’entreprise. Nous connaissons en ce moment un essor important. C’est beaucoup de travail, mais c’est aussi beaucoup de pression « positive ». »